Et si on vous disait que la maille n’était pas réservée qu’aux pulls d’hiver ? Durant le confinement, on s’est habitué·e·s aux vêtements cosy qu’on ne veut plus quitter. C’est précisément le moment qu’a choisi Lara pour quitté le barreau pour la basket, en s’associant avec Thomas, diplômé d’HEC, afin de créer la marque BALT. Après une année de développement produit, la sneaker BALT, Knit Restart, est couronnée de succès grâce à une structure innovante en maille tricotée, vegan et constituée à 80% de matériaux recyclés. Voici comment BALT met la maille à vos pieds.
Des baskets si confortables qu’on ne veut plus les quitter
Des chaussures effet chausson
Avec BALT, l’expression “à l’aise dans ses baskets” prend tout son sens. Les sneakers BALT sont conçues pour être le plus confortables possible. Elles ont un effet régulateur et anti-odeur grâce à la matière Bioeco utilisée pour la doublure, dont la technologie favorise l’évaporation de la sueur. Ainsi, vos pieds pourront être au chaud en hiver tout en respirant en été. En cas de pluie, elles ne seront pas imbibées d’eau dès la première averse, car elles sont déperlantes: La microfibre OnSteam® Bioeco utilisée pour les doublures est capable d’absorber 8 fois son poids en eau.
Grâce à la technologie du Knit, la chaussure est souple et légère. Elle est rembourrée par une mousse ultra moelleuse au niveau de la cheville et de la languette, ce qui garantit un maximum de confort. La semelle est épaisse et rebondissante.
Un style sportif qui match avec un look citadin
La volonté de BALT n’est pas de produire une énième basket blanche. La marque se démarque avec une basket élégante et épurée, tout en ayant une vraie singularité grâce au tricot et son triangle arrière signé BALT. Avec son épaisse semelle, la basket à une allure sportive. Les 6 coloris unisexes, sont volontairement sobres pour matcher avec l’ensemble du dressing. Les nouvelles semelles au colorie Jungle apporte une touche d’originalité supplémentaire à la basket par leur aspect “chiné” dû à ses matériaux recyclés.
Des sneakers qui polluent trois fois moins
Un impact carbone limité
Mettre les pieds dans une paire BALT, c’est réduire de deux tiers l’impact carbone de ses chaussures, ici mesuré à 5kg de CO2 vs 15kg en moyenne pour une paire conventionnelle, selon Carbon Fact.
Une teinture végétale
Les fibres et les fils des baskets BALT sont teintés sans produits toxiques, afin de limiter la pollution et pour préserver la santé des employés et des consommateur·ice·s.
Les baskets BALT parcourt moins de 1000 km à pieds avant d’arriver à vos pieds
Dans l’industrie textile, contrairement aux idées reçues, la majorité de l’impact carbone est lié à l’énergie utilisée par les usines pour la production. Sur le marché de la basket, 80% des produits sont d’origine asiatique, un endroit où la combustion du charbon reste la source principale de production d’électricité. BALT a fait le choix d’une production européenne, en Italie et en Espagne où le mix énergétique dépend moins des énergies fossiles. Les baskets BALT sont réalisées dans un circuit restreint au bassin méditerrannéen, en collaboration avec des fournisseurs se trouvant dans un rayon de 1000 km. La tige, le lacet, la semelle et l’étiquette sont réalisés au Portugal, tandis que la doublure et le triangle arrière proviennent d’Espagne. L’assemblage s’effectue manuellement, dans une usine spécialisée près de Porto.
Des matières responsables en nombre limité
Tige, lacets, doublure, semelle, broderie…Même pour les sneakers addict, la basket est complexe, fruit d’une multitude de parties imbriquées les unes avec les autres. Bien souvent, le choix des matières s’effectue selon des critères économiques, au détriment des considérations écologiques. Pour une seule chaussure, des dizaines de matériaux interviennent donc, issus de différents pays. Ce florilège de synthétiques est aussi un frein à la recyclabilité d’une chaussure. C’est pour cette raison que seulement 5 à 7 matières, triées sur le volet (aucune matière animale), composent les baskets BALT.
Les composants recyclés
- Pour la tige de la chaussure : la technologie du Knit, tricotée avec du fil EcoLife®, n’émet aucune chute lors de sa fabrication et est composée de coton (50%) et polyester recyclé (50%), issus de la pré-consommation (chutes de tissus industrielles) et post-consommation (vêtements usagés)
- Pour la doublure, le triangle arrière et le revêtement : le microfibre OnSteam® Bioeco composé de 40% de polyester recyclé, 20% de polymer de maïs, 30% de fibre adhésive et 10% de polyuréthane pour la pigmentation
- Pour la mousse moelleuse, du polyuréthane
- Pour les lacets, du polyester entièrement recyclé
- Pour le triangle arrière, une Microfibre OnSteam® en polyester (55%) et polyuréthane (45%)
Les composants non recyclés
- La semelle en B-Light®, un matériau développé par le fournisseur portugais. Il est fabriqué à partir d’EVA (99%) et de caoutchouc (1%)
- Le talon arrière en polyester et polyuréthane
Une marque qui voit plus loin que le bout de ses baskets
Quid du packaging ?
Les chaussures BALT arrivent dans une boite hermétique made in Portugal, conçue à partir de kraft et de carton recyclé, dans un sac en TNT (tissu non tissé) recyclé. Pas de carte de remerciement, livret explicatif ou autre goodies qui finirait à la poubelle : tout ce qu’il y a à savoir est imprimé directement sur la boîte !
Ne pas négliger la fin de vie des produits
Les matériaux utilisés par BALT se déforment difficilement. La tige chaussure est tissée en une seule pièce, le logo brodé pour éviter qu’il ne se décolle. Malgré tout, comme toutes les bonnes choses ont une fin, BALT a anticipé sa fin de vie : d’une part en limitant le nombre de composants, d’autre part en collaborant avec un fournisseur de semelles qui détient une usine de recyclage. Une fois la paire usée, vous pouvez la renvoyer à la marque qui se charge de la faire recycler.
Une marque en constante évolution qui connait ses limites
Il suffit d’effectuer une petite e-balade sur le site de la marque pour comprendre que l’on est loin du greenwashing propre aux marques conventionnelles. A l’avenir, elle aimerait limiter l’utilisation de matériaux dérivés du pétrole (polyuréthane, polyester, EVA), ne plus utiliser de colle pour l’assemblage de la chaussure, utiliser des camions électriques ou à hydrogène pour le transport, mesurer l’impact carbone du produit avec plus de précision et améliorer la traçabilité des matières premières.
INFO EN EXCLU :
Du 28 octobre au 24 décembre 2021, vous pouvez également les retrouver dans le marais, au pop up store La fabrique du père noël.
