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Toutes les marques devraient s’intéresser à la location de vêtements

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Le marché de la location de vêtements en ligne devrait connaître une croissance à un taux annuel de 10,60% de 2022 à 2029 [1]. Malheureusement, lorsque la demande grandit rapidement, l’offre n'est pas toujours prête à suivre, en particulier quand on touche à un service purement digital et qui requiert de structurer différemment son modèle économique. Depuis l’avènement de ce marché, rares sont les entreprises qui ont tenu le cap, en particulier après la pandémie. Forte de 7 années d’expérience de location en marque blanche, Les Cachotières lance “for brands” et déploient leur offre de location entre particulier·e·s vers le B2C et en marque blanche. Quelle que soit l'envergure de votre marque, voici comment vous faire accompagner vers un site clef en main personnalisé, où la logistique est totalement intégrée et les données marketing livrées mensuellement, pour adapter vos collections aux habitudes et besoins des client·e·s. Vers une métamorphose de notre façon de consommer la mode, vers l’usage plus que la possession.

Le marché de la location de vêtements est en pleine expansion

Dans un rapport publié en 2021 [2], Market Data Forest révèle le résultat d’une étude de marché internationale portant sur la location de vêtements. Si les usages et les cibles sont différents, la croissance de la demande est unanime. Les modes féminine et pour enfants sont en tête, en particulier dans les régions très urbanisées.

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Commentaires 4
    1. Bonjour Mia, merci pour ce partage ! Le lien ne semble pas fonctionner, mais en réponse nous pouvons déjà vous dire qu’on prépare un article sur ce qu’on appelle la pollution du dernier kilomètre, dont parle probablement le vôtre 🙂

  1. Bonjour Victoire,Bravo pour la qualité des papiers avec toujours des sources fiables.J’imagine que l’étude finlandaise publiée dans la revue scientifique Environmental Research Letters n’est pas passé inaperçu. En résumé, le procédé de la location serait finalement pire en termes d’impact environnemental que d’acheter puis de jeter des vêtements. Votre article prévoit-il de prendre en considération l’étude scientifique et notamment sur l’ACV de la location (pollution du dernier kilomètre, le lavage (peu écolo) entre chaque location, etc…) ? J’imagine que cela dépend du type de vêtement. Le bénéfice écologique de la location n’est pas le même entre une pièce de mode basique vs. un vêtement technique (Veste ski) car plus complexe à produire. Enfin, le bénéfice semble se situer au niveau du taux de remplacement (passer d’un achat à une location). En gros, 1 location= 1 achat neuf en moins. Je caricature volontairement. Je crois sincèrement que le bénéfice se situe ici mais nous n’avons encore aucune étude, à ma connaissance, pour affirmer ce point.

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