Le problème de la
mode
Pour nous, la mode doit changer.
Pas seulement l’industrie mais tout le système de la mode : les marques, les institutions, les citoyen•nes, les lois. Ça tombe bien, le changement est précisément en train d’opérer. Mais nous évoluons dans un monde au futur incertain. Et si la “transition” est pleine de promesses, elle est aussi compliquée car on navigue à vue.
Ce dont on a besoin, c’est de repères. Pas de connaître par cœur une liste de labels ou d’un training intensif pour apprendre à coudre nos vêtements en cas d’effondrement.
Ce dont on a besoin, c’est de solutions concrètes et prêtes à l’emploi pour nous guider vers une mode engagée : acheter bien, entretenir, réparer.
Ce dont on a besoin, c’est d’avoir confiance. En les entreprises, les institutions, les médias. Pour ça, on doit pouvoir avoir accès à des informations tangibles, mesurables et claires. On a besoin que la science, celle qui parle d’innovation dans la mode, du climat, soit rendue compréhensible. On a besoin que les entreprises se bougent réellement et coupent court à l’enrobage marketing traditionnel.
Ce dont on a besoin, c’est que la mode empoigne à nouveau un rôle qu’elle a oublié… au profit du profit : celui de nous faire rêver.
C’est pour vous livrer ces informations qu’on a créé ce média.
La mode éthique est une discipline complexe, intersectionnelle, qui
repose pour nous sur 4 valeurs fondamentales
1. L’Humain
La mode éthique met l’humain au cœur de ses interrogations : ceux•celles avec lesquelles elle travaille (les travailleur•euses du vêtement d’ici et du bout du monde) et ceux•celles qu’elle habille, dans l’inclusivité, indifféremment de leurs morphologies, de leurs classes sociales, de leurs couleurs de peau ou de leurs genres.
2. La Nature
La mode éthique protège ses éco-systèmes : l’environnement et la biodiversité. Quand elle est vraiment super forte, il arrive même qu’elle soigne au delà de protéger.
3. La transparence
La mode éthique raconte en transparence ses forces et ses faiblesses, les limites qu’elle rencontre dans ce chemin de transition et les joies de prendre part à une vraie révolution verte. Elle le raconte de façon compréhensible et mesurable pour nous et pour vous. Pas sur des affiches de pub.
4. L’amélioration
La mode éthique est contributive à un meilleur futur. L’éthique n’est pas son but mais son état d’esprit. Une marque éthique s’inscrit dans une démarche continue d’amélioration de ses pratiques, sur toute sa chaîne de production. Ça signifie qu’elle y dédie une partie de son chiffre d’affaire et qu’elle est capable de démontrer qu’elle fait mieux chaque année.
Concrètement, comment on sélectionne nos partenaires
?
The Good Goods veut aider toute l’industrie à se transformer
On accepte de travailler avec tout le monde. De la petite marque ultra-engagée au géant qui met tout en œuvre pour se transformer. Une condition sine qua none : une transparence totale sur les forces comme sur les faiblesses de ses méthodes de production.
Pour intégrer notre annuaire responsable, la marque partenaire est signataire d’une charte qui l’engage sur le volet social, environnemental, sur la transparence et l’amélioration continue de ses pratiques. On étudie ses labels, ses certifications et celles de ses prestataires.
Elle valide son discours par l’envoi de preuves concrètes avant d’être acceptée dans notre référencement. Nous ne sommes pas auditeurs, pas labellisateurs. On s’appuie sur le travail d’organismes certificateurs tiers.
Les boutiques engagées présentes sur la carte et présentant l’autocollant The Good Goods référencent uniquement – parmi leurs produits de mode – des marques engagées ou des vêtements de seconde main.
Bienvenue sur The Good
Goods.
L'équipe The Good
Goods